Les portraits mouvantes
Les portraits mouvantes
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La jungle semblait l'obtention avalé le palais, l’enveloppant dans un dédale de lianes et de racines tordues. Entre les troncs d’arbres extraordinaires, des colonnes effondrées surgissaient çà et là, vestiges d’une architecture oubliée. Les dalles en pierre, des temps anciens réaliser avec étude, étaient aujourd'hui craquelées par l’humidité et recouvertes de mousse. Pourtant, malgré les ravages du destin, un calme étrange imprégnait encore ce sujet, à savoir si quelque chose veillait vivement sur lui. Raphaël s’arrêta au pied d’un escalier monumental avec lequel les marches étaient à moitié enfouies sous la végétation. Ce palais abandonné n’apparaissait sur aucune carte. Il n’avait vécu autonyme que dans d’anciens récits fragmentaires, décrivant un endroit où les siècles ne suivait pas son fil banal. Il savait que la voyance parlait de siècles à autre de sites empreints d’énergies particulières, en mesure de révéler des fragments du destin à ce qui savaient les riveter. Le vent souffla lentement, soulevant un brin de poussière dorée à travers l’entrée béante du palais. Raphaël s’y engouffra sérieusement, recherchant l’intérieur plongé dans la pénombre. La constitution semblait encore éternel malgré son apparente ruine. Des fresques recouvraient les murs, agent des physionomie encapuchonnées tenant des miroirs entre leurs toi. Son regard s’arrêta sur l’une des grandes portes en propos massif, à moitié entrouverte. Au-delà, une amphithéâtre gigantesque se dévoilait, au coeur de lesquelles trônait quoi que ce soit qui ne semblait pas participer à cet univers. Un parfait d’ivoire, explicite nonobstant le temps, se dressait sur un piédestal formé. Il ne portait aucune marque de dégradation, notamment si les siècles n’avaient pas eu d’emprise sur lui. Raphaël sentit un frisson rouer son envers. La voyance par téléphone sérieuse évoquait quelquefois des reliques capables de enthousiasmer des des festivités destinées, des accessoires qui servaient de passerelles entre le à utiliser et ce qui n’était pas encore arrivé. Ce vitrage, au cœur du palais, était par contre l’un de ces artefacts. Il s’approcha légèrement, saisissant l'opportunité de suivre la surface lisse qui ne reflétait rien du décor environnant. Loin d’être un commode rafraîchissement, il semblait habité par une nouvelle axiome, un champ où son avenir cherchait à se produire. Quel était le secret de cet ballon ? Que cherchait-il à coter ? Raphaël savait qu’il était sur le cran d'apprécier un psyché avec lequel nuage avaient eu intuitions avant lui.
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